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× 20.05.2014
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MATTEW ▬ END

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MessageSujet: MATTEW ▬ END   MATTEW ▬ END EmptyMer 20 Nov - 13:31


☆ Mattew Hanven Ludbrook
je suis ce que je prétend être.
ㅡ identité

NOM & PRENOM(S) : Mattew haven Ludbrook.
SURNOM(S) : matt, Han...
ÂGE : 28 ans.
ESPÈCE : humain.
ORIGINES : Californie.

ALORS, CE VOYAGE ? PAS TROP ÉPROUVANT ? Aucuns souvenirs. Cela résume bien la chose. Simple sommeil de plomb, espérant oublier les gémissements des voisins peut être. Quels voisins d’ailleurs ? Puisque que je vous dis que je ne m’en souviens pas, fichez-moi la paix.

ET CE NOUVEAU MONDE TU LE TROUVES COMMENT, REGRETTES-TU LA TERRE ?
Terre ou nouveau monde, quelle est la différence ? Je marche toujours, je respire encore… Comment regretter quelque chose que l’on n’a jamais pu saisir de toute façon ? Ha, peu importe vous dis-je. Cela revient au même. Je ne regrette que de ne pas pu avoir emporté quelque chose d’important, vous savez qui aurait valut une petite fortune, pour ne jamais plus rien faire là bas ou ici.

PARLONS ARGENT... TU COMPTES BOSSER QUAND MÊME ?
Quelle bonne question. Oui, peut être, sans doute. Va savoir. Je n’ai jamais été élevé pour le travail manuel, ce genre de chose. Je me demande qui voudraient de moi. Hm, je serais sans doute obligé de travailler de toute façon.

ㅡ histoire

Il naquit. Comme tout enfant. Nommé, aimé, trop ou pas assez. Du sang de son père, considéré comme bon enfant, le silence décrit son monde, le silence s’empara de lui. Mattew ne désirant parler, Mattew n’ayant sans doute que peur, de ce que l’inverse pourrait entrainer. Il se plait à observer, il se plait à découvrir de ses simples sens, raison bien plus tard, des folies de ses désirs. Oui, l’enfant qu’il est alors, déjà brisé. Un quelque chose déclaré maladif, un quelque chose déjà déterminé, comme durant dans le temps. Pourtant, son esprit, plus robuste que son corps, pourtant, sa pensée déjà aiguisée. Sans doute pas assez. Mattew plus tard, pourra, accéder à cette richesse tant promisse, Mattew pourra, conserver cet honneur qui faisait le simple bonheur de son père. Il ne l’aime pas. Ne l’as jamais aimé. Et ne l’aimera jamais. Ainsi commence l’histoire de notre homme, simplement brisé par un amour bien trop calculé, dirigé.

Il observa, il contempla. D’un œil passif, d’un œil déjà las d’un monde tant promis. Il ne désire plus déjà. Il se contente de penser, de regarder, d’essayer de comprendre. Il n’y parvient pas. Alors, il étudie de nouveau. Tout cela comme une mélodie infinie. Oui, cette mélodie qui alors résonneras dans la grande demeure, comme pour lui faire remarquer sa solitude, sa petitesse. Brisant ce silence étouffant, ce silence dans laquelle il s’était enlisé. Un simple rayon de soleil. Mattew déjà, attiré par l'attrayant. Mattew déjà la désirant de toute sa chair. De simples traits ébauchés, de simples sourires d’une douceur extrême. Il n’en faut pas plus, il n’en faut pas moins. Mattew ne sait pourtant, l’importance qu’elle pourra avoir, qu’elle aura dans sa vie. Oui, il ne sait, ce que tous ces désirs plus tard lui apporteront. Et pourtant, il ne désirera qu’à partir de ce jour, l’attirer à lui, pour mieux la briser, pour mieux lui demander de l’aider lui, à rompre ce silence qu’il ne peut entendre.

Ils ne se fréquentent pas pourtant. Il n’ose demander, la simple raison de sa présence. Elle restait là, aussi muette que lui, lui lançant ces regards dont il n’aurait jamais tenté de déchiffrer, par pure politesse, pas peur de cet inconnu. Il grandit, il se transforme. Et toujours, se demandant ce qu’elle attend ici, ce qu’elle va ensuite chercher là, dans cette maison qu’il a l’impression de ne jamais avoir connu. Mattew se contentant de l’observer, les rares fois ou la surveillance paternelle se réduit, les rares fois ou il redevient un simple garçon. Oh, elle ne le voit pas pourtant, et c’est bien la seule chose qu’il se permet de comprendre, qu’il admet. Quelques mois, quelques années, avant qu’ils n’échangent enfin quelques mots. Qu’ils brisent enfin ce silence, à jamais. Ou pour mieux lui permettre de s’installer, et pour l’éternité. Quelques larmes refoulées, comme tout le reste, comme tous ces sentiments, ce débordement de sentiment. Oui, encore pire que d’être lié à elle par le sang, encore pire qu’être né sous le même toit qu’elle, elle finit par se laisser désirer par un autre homme. Elle finit par se laisser emporter par celui-ci. Et s’abandonner à lui. Puisque, la seule chose qu’elle eu peut attendre, ici, dans cette grande maison, ses délicates mains jouant cette mélodie, si triste, si pure… n’aurait pu être que lui. Elle devint alors, partie intégrante de sa famille. Sans qu’il ne puisse rien lui dire d’autre, que son propre nom, sans qu’il ne puisse lui exprimer rien d’autre que de sincères félicitations.

Mattew alors abonné à ces péchés, Mattew alors tomba encore et encore, sur cette longue pente que certain appellerait « repentance » ; a présent comme seul désir, la volupté de la fumée l’entourant, à présent comme seul désir l’éloignement de ce monde. Trop loin pour qu’aucune main ne puisse le rattraper, pour que l’autorité paternelle ne puisse l’aider à remonter. Humain, détruit dans la simple ivresse de l’amour, la simple ivresse d’une vie détruite par quelques espoirs si vagues. Ha, Mattew alors serré dans un costume sans doute trop petit pour lui, ne pouvant qu’admirer une mariée qui ne lui ai pas destinée. Alors, il la contemple, oui, comme il l’avait toujours fait, ne pouvant prétendre à sa compagnie, comme auparavant. L’avait-elle alors simplement remarqué ?

Il laisse passer le temps. Il passe le temps. Sans grande importance, sans grand désirs ni espoirs. Se contenta de rester là, de devenir par son propre sang, simple enfant. Il n’y a rien sans doute rien à dire, d’une vie comme la sienne, simplement détournée de son but original par un simple hasard, une simple rencontre. Pourtant, ce ne fut pas encore le temps, ou elle vient le chercher. Ou ce monde fut laissé bien loin derrière lui. Il tenta pourtant de disparaitre, l’odeur de la poudre alors mélangé à celui du tabac, à son odeur originel d’homme de bonne éducation. Il ne le put pourtant. Puisque tout fut laissé ainsi, puisque tout fut toujours comme cela. Trop lâche ou aimant trop ce vivant désespérant. Il changea. La cigarette tapissant ses poumons si lentement. Le temps tapissant son esprit bien plus rapidement. Il se força à oublier le simple nom de cette personne lorsqu’elle finit enfin par le laisser ici, seul. Ne lui imposant plus sa simple présence, aussi douce que sa personne, pourtant amère à ses yeux. Oui, il l’oublia. Quelque fois se demandant si se serait laissé alors, de cette manière si elle s’était tenu à son bras, sans trouver la réponse, comme s’il ne la trouvait pas. Son désir d’elle, pourtant toujours ancré dans sa chair. Il chercha à le faire passer, à l’assouvir, sans jamais y arriver. Après tout, il n’avait sans doute qu’oublié sa personne et non son être, ou quelque chose comme cela. Mattew ne s’était, jamais posé la question ; cela ne servait plus à rien à présent.

Un Jour, elle revint cependant. D’une manière imprévue, d’une manière si brusque qu’il se contenta de l’éviter, comme un simple coup. Son corps déjà meurtris d’un amour non-existant, son esprit n’étant plus qu’un simple bateau à la dérive. Les hommes, les femmes sont si faibles. C’était tout ce qu’il s’était permis de penser. Il s’était contenté de lui sourire, de l’inviter là ou elle n’avait alors jusqu'auparavant jamais souhaité aller. Mattew à présent sans amour, Mattew à présent ne la gardant à ses côtés que par simple angoisse du passé, que par simple nostalgie. Espérant pourtant que le simple toucher de sa peau contre la sienne pourrait raviver ce quelque chose déjà longtemps disparu. Se contenta alors simplement, de panser leurs plaies mutuellement. Celle qu’elle lui avait infligée, celle que l’homme qu’elle avait choisis par le passé lui avait laissée. Son corps auparavant si lisse bientôt déformé par une haine non expliqué, par une haine semblable à de la lassitude. Non, Mattew ne l’aimait plus. Mattew n’avait sans doute jamais aimé que la simple vue d’une femme si douce, si forte, et jamais, ce qui se trouvait réellement ici, sous ses yeux. Quelques baisées laissé ici et là, comme pour lui assurer que ces mensonges étaient réels sans que jamais elle ne se rende compte, qu’elle ne lui avait laissé qu’une simple pitié. Oui, elle ne l’avait jamais réellement remarqué. Espérant peut être qu’il la sauverait, ne pouvant se rappeler que d’un enfant assis à côté d’elle, lorsque cette mélodie aux allures lassantes, comme leurs simples vies.

La cruauté l’avait gagné, comme la vieillesse aurait pu l’atteindre. Avec le temps. Il finit par oublier la femme dans ses bras, il finit par se demander s’il pourra se rendre compte un jour, si elle décidait alors de l’abonner une nouvelle fois, ici. Il savait la réponse, préférant l’ignorer. Encore, ces larmes refoulées, comme pour qu’elle ne puisse jamais les boire, les lui enlever. C’était bien trop tard. Enroulant ses doigts, dans cette masse de cheveux, enroulant ses doigts autour de ses poignets, sans que jamais qu’aucune de leurs liaisons ne le brule, ne l’atteigne comme auparavant. Le désir à présent enfuit, quelque part dans son cœur. Il pouvait à présent la décrire, la nommer. Comme si elle lui appartenait entièrement. Mattew n’ayant jamais désiré cela, mis à part une femme ne lui appartenant pas. Une simple contradiction, une simple perception brouillée. Ha, il n’avait sans doute, jamais bien regardé, jamais bien contemplé, de tout ces sens. Il regretta peut être, de l’avoir remarqué elle, parmi tant d’autres. Et puis, d’avoir essayé de la briser à nouveau, de ses mais cette fois, comme pour effacer les péchés de son frère ainé. Mattew se demandant encore intensément, comment fuir. Ce qu’il avait crée, cette fois, ce qu’il avait essayé de bâtir. En vain.
Lâchement, il la laissa derrière lui. Lui infligeant sans doute ce qu’elle lui avait infligé. Rendu malade par le simple touché de sa chair, par le simple effleurement de ses lèvres contre les siennes. Après tout, non, elle ne l’avait jamais remarqué. Et lui s’était contenté de rejeter ce qui jamais, ne lui appartiendra totalement, cet anneau toujours, les éloignant. Il se contenta de la laisser là, dans cette grande maison ou seul l'attendait surement cet autre amour brulant. Il enterra son amour. Il enterra son honneur. Et alors, elle vint le chercher, pour qu’un autre temps l’atteigne, passe sous son nez, pendant qu’il se contenterait encore d’observer.
ㅡ caractère & goûts

Mattew un quelque chose de cruel, Mattew un quelque chose de maladif. Évoluant au cours du temps, se demandant même ce qui l’a transformé ainsi. Mais il sait, bien sûr. Se questionnant, observant. Détestant la parole, détestant ce bruit écrasant, de sa simple éducation. Il observe, et se contente de cela, sans grands désirs, sans doute bien trop las pour en avoir. Il est plat, sans grand remous, se contentant d’être, d’exister. Il respire, que demander de plus ? C’est quelque chose difficile à décrire, difficile à nommer. Il ne désire appartenir, à qui que ce soit, à quoi que ce soit. Quelque fois trop brusque, quelque fois trop sauvage, ou pas assez. C’est un homme ne souhaitant se laisser aller, et pourtant facilement emporté par ce qu’il ressent. C’est encore, et toujours, un quelque chose changeant au cours du temps, puisque c’est un homme, un simple mortel. Ne laissant les changements l’importuner, tombant toujours et encore, se relevant de la manière la plus idiote. Se relevant pour ne se jeter que d’une falaise encore plus haute. Ha, Mattew n’apprend rien, et Mattew ne laisse personne lui apprendre quelque chose. Il déteste cela, il déteste les compagnies non désirée. Rancunier, et toujours aussi cruel. Puisque, après tout, il aime être considéré pour ce qu’il est. Non, il n’est pas sanglant, il est ce genre de personne qui ne filtre point les mots, qui leur donne naissance sans jamais y réfléchir. Puisque Mattew, se ne questionne que sur les actes d’autrui, ou sur son avenir, qu’il ne veut pourtant pas élucider. Il n’oublie rien, et ne souhaite rien oublier. Sauf une chose. Mais il ne parle pas, évidement, puisqu’il la rejette plus que tout au monde. Oui, Mattew contradictoire envers lui-même. Mattew aimant et détestant sans grande raison. Toujours voluptueux, tout autant que cette fumée l’accompagnant. Puisque Mattew se laisse glisser petit à petit vers un monde emplis de péchés. Vers un monde ou plus rien ne pourra le sauver, pas même un tube inter dimensionnel, et pas même une gamine dont il ignore tout. Oui, il déteste. Qu’on l’aide, qu’on l’aime ou qu’on le supporte. Cela n’a aucun sens. Et pourtant, il aime tout autant tout cela. Puisque, le temps le change, le temps change ses pensées, son être, son corps meurtris par des pulsions originelle.
Alors, il se contente d’aimer ces choses simples et sans intérêt. Les doux sons de la pluie, des doigts martelant un piano et ces mélodies douces qui emplissent son esprit. N’aimant, ces nouvelles technologies, ces choses que le temps a apporté, en lui ou partout ailleurs. Il craint d’être oublié, de se faire oublier, c’est obsédant, et pourtant, il n’aspire qu’à ça.  Quelque chose comme cela. Après tout, mieux faut l’observer à son tour, qu’en lire ce qu’on en dit. Oui, c’est quelque chose comme cela.




☆ shaywne
LET'S EAT SOME PO-PO-PO-POTATOES - NO

+ QUI EST SUR TON JOLI AVATAR ? : Scotland d'Hetalia.
+ ET, D'AILLEURS TU AS QUEL ÂGE ? : j'ai 16 ans o/
+ SEXE : femmmmeeeeeeeuh
+ ALORS, COMMENT TU ES ARRIVE(E) JUSQU’À NOUS ? : par des tops sites /o/
+ DES AVIS, DES IDÉES POUR Chicken eat G's F ? : dunno (j'ai toujours été d'une grande aide)
+ SI TU VOYAIS PETER PAN DANS TA CUISINE EN TRAIN DE CAMBRIOLER TON FRIGO, QUE FERAIS-TU ? : je le mangerais ?
+ AUTRE CHOSE ? :(un jour je pourrais rentrer chez moi, un jour je pourrais avoir un avatar /SBAF/) les paillettes c'est pour les princesses.
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Mckenzy
Mckenzy

#hybrides incompris

JOB : Larbin à plein temps

NB DE SUJETS : 396
COTS <コ:彡 : 3381

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MessageSujet: Re: MATTEW ▬ END   MATTEW ▬ END EmptyMer 20 Nov - 17:44

Bonjour-Bonsoir et surtout bienvenuuue \o

C'est fou, avec Jaymes Young en fond, tout s'accorde (même sans d'ailleurs, mais avec ça rajoute un côté classe et sombre toussa)

Et donc sans aucune hésitation tu es validée et ajoutée dans le groupe des humains :3 (je pouvais pas faire autrement, vu la qualité du réalisme du personnage et la façon dont tu le décris, je donnerais tout pour écrire comme ça à 16 ans **)

Je le dis tout le temps (je radote yay) donc tu peux soit commencer à rp dans le Tube intersidéral ou choisir un lieu que tu préfères en mentionnant être passé par ce fameux Tube. N'oublie pas d'aller demander un logement ici - ou si tu veux tu peux vivre dehors, au choix 8D

Aussi, n'hésite pas à te créer une fiche de liens . Concernant les boîtes aux lettres et les téléphones, nous sommes en train de coder leurs fiches et les formulaires des boutiques pour Orenjiui au cas où tu veuilles monter ton business; alors ça devrait être posté avant vendredi - pardonne-nous mon acolyte est assez lente éé
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